John De Gaule: John De Gaule - Biographie ( prémix )

ATTENTION : ce récit contient des propos phallocrates et racistes qui sont à prendre au second degré. Ils ne reflètent en rien une réalité.

( et pardon pour les fautes, c'est un premier jet XD )

John De Gaule est un personnage fictif inventé par son auteur

John De Gaule, est né le 1er janvier 69, année érotique, à Paris (enfin, c'est qui est indiqué sur sa carte d'identité, qui est fausse)

doté d'un physique particulièrement disgracieux, ses vrais parents l'ont abandonné sous le porche d'un couvent et il fut découvert au petit matin par une des nonnes, soeur emmanuelle.

John de gaule prétend que ses parents l'ont abandonné parce qu'il était tellement laid « qu'ils pensaient avoir mis au monde un mongolien « .

en fait, john cache de cette façon la douleur qu'a représentée pour lui cet abndon...

il prétend également qu'il était prédestiné à son métier de doublure queue parce que né avec une érection qui avait rendu le travail difficile.

Placé en familles d'accueil, John a épuisé pas moins de 36 nourrices toutes décédées d'un cancer du sein quelques années plus tard.

En effet, il était impossible de le décrocher du sein nourricier sans qu'il ne se mette à piquer des crises de nerfs impressionantes, même repu.

John laissait alors à chaque fois derrière lui une famille sur le point de commettre un infanticide, et une nourrice aux seins tuméfiés..

lorsque john eut enfin daigné se nourrir normalement, vers l'âge de 5 ans, il est envoyé dans un orphelinat tenu par des curés.

La nonne qui l'avait découvert s'était prise d'affection pour lui et venait régulièrement lui rendre visite.

Les choses commencèrent à se gâter lorsqu'il atteint la puberté, vers l'âge de 11 ans.

Il montrait un caractère particulièrement rebelle, rétif à toute forme d'autorité, et fuguait régulièrement pour aller retrouver soeur emmanuelle.

On les soupçonne d'avoir entretenu des liens particulièrement ambigus.

À 15 ans, john commet une ultime fugue et s'enfuit de l'orphelinat, après une violente altercation avec un des curés.

Rattrapé par la police alors qu'il tentait de voler une voiture, john prétendra avoir subi des attouchements de la part du curé avec lequel il s'était « battu », le père mafröst.

L'affaire sera classée sans suite après que john ait profité de l'absence du policier qui prenait sa déposition pour sauter par la fenêtre.... il évoque avec fierté cet exploit, s'auto-proclamant « le spaggiari du cul «

Une des interrogation majeure à propos de sa bagarre avec le père mafröst nous vient des chirurgiens qui ne s'expliquent toujours pas comment il a pu enfoncer si profondément un crucifix de taille notable dans l'intestin du religieux.

On ne sait pas ce qu'a fait john jusqu'à ses 18 ans... il déclare « avoir pêché , comme le niakoué en robe, là... » ( il parle de maître vergès )

En fait, ce n'est qu'un an après que john recommença à faire parler de lui, en jouant dans son premier film porno : « tu me la sors, bonne «

il prétend être l'âme soeur de traci lords, parce que comme elle, il à menti sur son âge et était mineur quand il a commencé à tourner.

Bien que particulièrement gâté par la nature ( il a d'ailleurs, entre autres tatouages, « gifted by nature « inscrit sur son pubis ) il est si laid que la plupart des actrices refusaient de tourner avec lui.

Les choses se compliquent quand on sait que john a ce problême particulier qui est que la levrette provoque chez lui une montée d'adrénaline pathologique : il perd tout contrôle de lui même et se met à labourer violament sa partenaire dans un flots de jurons, et en arrive quelquefois à les frapper à coup de poings dans le dos ( « tiens, sale pute, j'te casse les reins « est la phrase la plus souvent pronnoncée dans ces cas là ).

rajoutez à cela son caractère imbuvable et un goût prononcé pour la provocation … il ne peut s'empêcher de s'embrouiller ( ou de trouver un motif pour ) en général avec le réalisateur, ou sinon lui, un technicien.

Le plus étonnant reste que john arrive toujours à se faire ré-embaucher sur un tournage, laissant supposer qu'il entretien des liens avec la mafia...la mythomanie est une des pathologie propre au « gaulisme « .

sa présence se limite à remplacer les acteurs défaillants ( john semble d'ailleurs souvent être à l'origine de ces défaillances, via quelques substances versées dans la nourriture, ou les boissons) d'où sa réputation de « doublure queue « .

particulièrement excécrable, il arrive souvent à trouver sur les plateaux ( ou même dans la vie ) la bonne poire, l'actrice ou la maquilleuse à l'âme d'assistante sociale chez qui à force de larmes ou dépression souvent simulées il suscite la compassion.

La plupart du temps, c'est à cette même personne qu'il vient de voler le portefeuille, des bijoux, de l'argent ou même des sous-vètements.

En effet, JdG est également kleptomane, d'où l'attention soutenue du personnel à son égard lorsqu'il est présent sur les tournages, et souvent ses crises de nerfs servent à justifier le fait qu'il s'accapare une caméra, un projecteur, une théière ou même une pile d'assiette, ...n'importe quoi, avec lesquels il quitte le plateau, non sans avoir copieusement insulté tout le monde.

Ses relations avec la maréchaussée sont également très houleuses.

John estimant qu'il est « un être libre « , conduit sans permis, des motos de grosse cylindrée ( « le cheval du 20ème siècle : entre étalons, on se comprend » dixit ) généralement volées, avec pour philosophie « n'attends pas qu'on te donne, prends le « ( encore un de ses tatouages )

son goût de la provocation l'entraine régulièrement dans les problêmes.

une de ses plus « célèbre « altercation avec la police s'est déroulée lorsque, lègérement éméché ( c'est lui qui le dit : en fait, il était presque ivre mort ) et au guidon de « sa « harley, il s'arrêta à hauteur d'un contrôle routier et lança : « alors la volaille, on attend le client ? » …

rattrapé plusieurs kilomètres plus loin après avoir évité le pire ( il roulait à contre sens ) john fut mis en cellule de dégrisement.

Raciste sauf en ce qu concerne les femmes, il déclara « qu'il était français, et que c'est les bougnoules qu'on met en dégrisement « …

le lendemain, lors de sa déposition, prétextant un comportement irrespectueux à son égard de la part des fonctionnaires qui l'avaient arrêté, il argua que « si lui était monté comme un âne, eux en avaient l'intellect « .

refusant de confirmer ses propos à la relecture de la déposition, il se réfugia dans un mutisme profond, avec pour ultime déclaration : « on ne tire rien de John de Gaule, c'est lui qui tire « .

les choses s'envenimèrent lorsque John tenta de s'allumer un cigare alors que l'inspecteur tentait de le faire sortir de son mutisme.

Les circonstances de la rixe restent encore floues, mais il affirme que l'inspecteur avait essayé de l'assomer avec la matraque que les urgentistes ont retirée du rectum de ce dernier.

Quelques points de suture plus tard, john demanda l'assistance d'un avocat, maître Carré, pour sa comparution immédiate.

C'est à la stupéfaction générale qu'il fut relaxé.

Durant son procès, john appelait maître Carré « p'tite bite « et ne le laissait jamais parler, lui coupant à chaque fois la parole.

On pense que John à soudoyé la juge qui présidait de ses faveurs à la suite d'une suspension d'audience, ainsi qu'un entretien avec la magistrate, demandé par lui.

la juge a affirmé « son intime conviction « que john était innocent et que les fonctionnaires de police avaient outrepassé leurs droits.

L'affaire fit scandale, et tout le commissariat se mit en grêve plusieurs mois.

Officiellement, John De Gaule a arrêté de tourner mais on le suspecte de s'être rendu aux états-unis ou il tournerait des snuff movies.